Les Fabuleuses Histoires de Shexpir

[Toinou]

Oyé oyé, bon j'ai lu y'a quelques jours les 57 pages de la présentation de Shexpir, et comme vous le savez il écrit des histoires extrêmement bien racontées, donc j'ai décidé de créer un topic qui regroupe toute ses histoires  (en plus y'a pas mal de monde qui lui ont dit de le faire). J'en ai parlé avec lui et il est d'accord. D'ailleurs merci Shexpir ça me permet de ne pas trop m'ennyuer au boulot. 

Bon il y aura des multi posts car je mettrais une histoire par post et je pense que vous comprendrez et que vous laisserez ce topic chers modérateurs ! 

Je précise que toutes les histoires racontées, Shexpir les as vécues et ne sortent donc pas de son imagination

Voici la première histoire :

Je rentre, d'une petite virée avec mon cousin, ou le but était clairement définie, tester s'il y a bien une différence avec les filtres hautes performances. Je devais d'ailleurs vous faire une vidéo. Mais voici les raisons de son absence...

Premièrement, oui le filtre à aire change, même pas mal je dirais. Enfin, ça me prend aux tripes quand j'accélère. Plus de trou en dessous de 2500trs/min. Et j'ai un témoin de taille pour le constater : la gendarmerie nationale 

En moins de 10km je me suis fais arrêté deux fois... toh !
D'ailleurs si vous êtes de sortie ce soir faîte gaffe, eux aussi ...

Pour la première, petite route de campagne, ou il y a un rond point énorme. Avec 40 sorties, et moi qui prend la dernière pour continuer tout droit, et qui se trouve juste en face. Vu ma vitesse qu'est ce que je fait ? Je prend tout droit... Tout le monde le fait, et y jamais personne.
Donc, un coup sur l'accélérateur, là un mec sort de son garage en marche arrière, j'évite et là une petite lampe torche en face qui me fait des signaux. Tiens, me dis je dans ma tête, les japs sont de retour ?

Je freine sec, et là je vois Ford mondéo Bleu, de la gendarmerie... Là me suis dit, laisse tomber tu termine en garde à vue avec retrait du permis...
Alors le gars énumère les infractions, franchissement ligne continue, excès de vitesse, rond point à gauche. Ils font le tour de la belle, ça sent fort le pneu qui a chauffé. Il regarde si j'ai pas fait de traces sur la route... Il me demande de sortir du véhicule.
Et je leur dit pas que je voulais tester mon nouveau filtre à air, non homologué route, mais que ma vanne EGR viens d'être changer et que je voulais tester... (pourquoi pas ? hein ?  )
Bon dans le duo, y avait le flic sympa et le méchant, comme dans les films. Sauf que le méchant était vraiment méchant et con en plus. Rien pour lui. Mais le bon flic, ne voulais me verbalisé que pour le rond point, vue que j'étais sobre et que je reconnaissais les faits. Le petit teigneux et partir s'enfermer dans la voiture bouder...
Et le bon flic, ma fait un petit papier, 90€ d'amende et pas de retrait de point. Si c'est pas de la moule ça... Je discute un peu avec, on parle de la voiture, il avait l'air de connaître les modèles...
Petite aparté, je lui demande si leur mondeo sont préparé, et il me répond, que tous le monde à ses petits secrets...

Bref je reprend la route, en me disant m'en tire pas trop mal, je roule tout doux, mais le mode sport était encore enclenché, j'entend l'appel du turbo, qui souffle beaucoup plus avec le nouveau filtre. Je suis tenté d'appuyer... Un stop, je m'arrête, et là ! j'en peux plus, j'appuie à fond, mais m'arrête à 50. Et là coup de gyro derrière moi...
Et ¤¤¤tut¤¤¤ 
C'est repartit pour un tour, mais avec des nouveaux, puis en level 2, avec gilet pare balle et mp5 autour du coup. On est repartit pour un contrôle...
Je continue mes apartés, et demande quel gros gibier ils chassent avec une mitraillette ? Car faut dire, que je fais pas vraiment dangereux, je sortais du boulot, donc en costume, avec radio classique... Bref, il me répond qu'on ne sait jamais. (Au cas où que le mec éternue, il lui tire dessus, comme ça il aura pas pu être agresser à coup de grippe porcine, ça doit être ça...)

Pour le second contrôle il n'ont rien à me reprocher. Peux vous dire, que pour le retour j'ai jamais vue la route aussi longue...
Bizarrement, ça m'arrive la veille ou j'ai perdu mon frère dans un accident de voiture. Je suis pas du genre coïncidence et tout, mais là faut avouer que c'est étrange.


Deuxième Histoire :

Ce n'est pas qu'un cliché de cinéma c'est bien la réalité.

J'ai travaillé avec des russes l'été dernier. Mon boulot était de les encadrer, je devais être le premier debout et dernier couché, et faire en sorte qu'il n'arrive rien de bien méchant à ces dames. (boulot de rêve  )
Voici quelques année docte :
-Dans la chambre d'une des russes, les volets roulants ne fermé plus. Apparemment l'enrouleur était coincé. C'est pas grave prend un ciseau et on coupe la lanière. Puis on fait un noeud quand on veut remonter les volets. (je sais pas si vous arrivez à imaginez, mais ce sont ces volets, avec une lanière on tire et ça monte. On tire vers soit et laisse glissé et ça descend. Pratique mais ça coince souvent, enfin plus pour les russes).

-Un numéro de téléphone  qui était affiché sur un mur, en cas de problème. Les russes pas de stylo pour le reprendre, pas grave on déchire la feuilles et on prend le numéros. Tant pis pour les suivants.

-Les fills lors de leur départ m'ont offert une carte, ou c'était écrit "je t'aime". Le hic c'est qu'elles étaient 3. Pas de problème on prend le stylo rouge, on barre le je, on rajoute nous et ons à aime. Et voilà envoyé c'est pesé.

Du coup je suis tombé sous le charme. Et j'ai rejoins ces camarades, au mois d'octobre à Moscou. Là j'ai été accueillit comme un prince.
Et la brutalité, continue à faire son charme.

- Le premier matin, après quelques heures d'avion et un petit décalage horaire. J'ai droit à un déjeuner russe. Un super café, vraiment très bon, la maman de mon amie, qui ne parle pas un mot de Français et encore moins d'Anglais. Prend une sorte de crêpe épaisse, prend un port du genre confiture me tartine, et braille en Russe, "mange spécialité Russe. Très bon." Bon c'était pas goûte, ou autre. Non c'est mange et ferme ta gueule. Puis elle me donne la crêpe comme ça dans la main. Je goûte... La mère et la fille me regarde avec de gros yeux. Je sens l'embrouille 
Et là, catastrophe, un goût archi salé. L'odeur de la mer. Pouaw. J'ai faillit craché. Mais quand j'ai deviné que c'était du caviar, me suis dit ¤¤¤tut¤¤¤ vais pas craché 50€.

J'espère que j'arrive un peu à faire imaginer le tempérament des russes. Dîtes vous qu'ils font la politique de la même manière. Mais souvent ce n'est pas avec un mauvais fond. C'est juste un peu barbare. Bon évidemment faut quand même être d'accord avec leurs idées.
Bref ils sont très attachant, et très fier. Ils se soutiennent, dans le métro, métro cela dit est géant et tout en marbre super beau. Un homme en siège roulant avec quelques médailles, tout le monde va le voir et lui donne un billet, même s'il demande rien. C'est la tradition.
Il y a des monuments de victoire gigantesque. Faut savoir que Moscou fait 5 fois Paris en longueur et 4 fois en largeur. Ils ont repoussé Alexandre I, Napoléon et Hitler, Ils en sont très fier et te le font savoir.

Si vous avez l'occasion, allez y ça vaut le coup.


Troisième histoire (en 2 partie) :

Une nouvelle histoire, made in me.

En fait, j'ai complètement omis de vous raconter, comment j'ai eu ma voiture... Et les problèmes qui s'en suivent...

Bien, je vous mets en situation. Mettons nous assis, à l'abri d'un arbre, au bord d'une colline, donnant une vue imprenable sur le relief Lorrain. A gauche nous avons les Vosges et à droite le ballon d'Alsace. Le temps est doux, un vent viens vous bercer. Quelques oiseaux chantent. Une petite table, près de l'arbre, un petit verre bien frais, des gouttes d'eau glisse le long de celui ci, et un petit citron s'amuse avec les bulles du breuvage. (je vous laisse le choix pour la boisson, moi c'est de la rivela.) Une petite assiette, remplit de Bergamote, spécialité de chez nous.  On est pas loin de nos maisons, mais pourtant on se croit en vacance. Nous sommes seules, et nous pouvons refaire le monde, tout en regardant dansé les oiseaux sur ce vaste paysage, de champ et de petite colline.

Maintenant que nous sommes en situation, je vous raconte comment j'ai eu ma belle.
Nous étions mi-fin Février. Après de long mois de recherche, ou j'étais axé sur une Audi A3 ou Mégane 2 CC. Je recherche sur le bon coin, selon mes tarifs et ma région. Et là je tombe sur ma belle. Opel Astra GTC Cosmo 1.9cdti 120cv 80 000km 12 000€ avec option Sport (châssis sport, bouton switch, et jantes de 17pouces) datant de 2005.
Je me dit, tiens elle est pas mal cette voiture elle a pas beaucoup roulé. Les photos semblaient montrer une voiture bien entretenue. Je commence donc à me penché sur le modèle Astra GTC. Fait des recherches sur cette voiture, qui ne m'intéresser guère avant de l'avoir vue sur leboncoin. Petite parenthèse, c'est à ce moment que je vous ai connue. Mais j'ai mis du temps avant de m'inscrire. Parenthèse finie, je tombe amoureux de ce modèle et surtout du bouton sport. Je fait donc de nouvelles recherches mais cette fois comme critère Astra GTC. Mais je retombe à chaque fois sur la même annonce, tout compte fait, je décide de prendre contact avec le Monsieur. Celui, était jeune, comme moi, encore Étudiant. Il voulait la vendre pour se mettre en Appartement avec sa dame. (tiens c'est la mode on dirait...)
Je prend donc rendez vous. Je la vois, remarque quelques points de carrosserie abimé. Mais rien de bien méchant. Je monte à l'intérieur et là, surprise. Incroyable. Sur le cul. J'étais aux anges. Vous ne devinerez jamais ce qu'il y avait. C'était : DING DING DING DING... Ah oui j'oubliais. J'ai pas pensé à préciser que dans notre situation il y avait une Eglise près de l'arbre (mais oui vous savez dans le premier paragraphe, on est sur un banc, là les Vosges, l'Alsace les oiseaux et tout... Faut suivre un peu). Et là il est 4 heures. Bon donc je continue...
Une fois montée dans la voiture, ça sentait encore la voiture neuve. Super propre. Je me met assis, prend le volant et là coup de foudre. Avant même d'avoir négocié, avant même d'avoir vu un banquier, je savais que ça serait la mienne.
Je conduis avec, mais je n'ose pas appuyer dessus, je me promène dans les rues de Nancy, et alors que son propriétaire était encore à coté de moi, je sentais qu'elle était mienne, et que j'étais un vrai chevalier.
(le fait de ne pas la tester vraiment, sera un sacré tord pour la suite...)
Je négocie, je lui prend à 11 000, sachant que les pneus arrière sont à changer, qu'il y a la peinture à refaire si on est maniac et qu'il faut faire la vidange. Le monsieur, réfléchis et insiste sur 11 500. Je dit alors bon joueur 11 250. C'est OK...

Une semaine plus tard, j'ai mon prêt, mon assurance. (fera l'objet d'une autre histoire)
Je reprend rendez vous, mais cette fois pour acquérir la belle.
Là le monsieur me la ramène toute sale, montrant qu'il a profité de sa puissance jusqu'au bout. Je suis pas trop content, mais bon. On remplis les différent papier, je récupère les clés, facture. Et monte dedans. Me dit purée, ma première voiture. Je ressors, je la regarde, "ça c'est ma première voiture". Je me dit, purée, mon gars tu as bon goût et pas mal pour une première voiture. (j'aime me flatter, avec mon esprit). Un ami, s'y connaissant en mécanique me rejoint, fait l'inspection. Rien à signaler. On démarre. Je roule un peu, vitre baissé, chauffage à fond. Faut renouveler l'air, pour qu'elle devienne mienne. Là mon ami, me dit, maintenant c'est le moment, teste là. Je dit ok. Pied au plancher et là... Bah là... Bah rien du tout. La voiture monte péniblement dans les tours, et une fois 2500trs/min, une vrai fusée. Je me dit au début que je n'ai pas encore l'habitude et que j'ai du mal passé les rapports.
Un jour se passe. Le lendemain, je m'apprête à partir, un resto près de Metz, Pizza Pai, avec Pizza aux mètres à volonté, avec une bande d'ami. Je suis sur l'autoroute, et je met la 6ème pour la première fois, seule hic en 6 à 110, je suis à moins de 2500trs/min, la voiture perd de la vitesse, obligé de rétrogradé jusqu'en 4 pour maintenir péniblement un 70. Le voyant jaune, problème électrique s'allume. Je me met sur la bande d'arrêt d'urgence. Coupe le contact. On prend la notice, on lit ce que signifie le voyant, il dise qu'en redémarrant le problème peut partir. Alors on redémarre, accélère un bon coup, me disant ça va nettoyer, mais j'ai rien sous la pédale. Je continue en 5 à 110. Et commence à avoir franchement peur. On arrive au Pizza Pai, j'appelle quelques amis du bled, pour leur demander conseil. Il me monte la tête contre le vendeur, me certifiant qu'il a essayé de m'arnaquer, et qu'il faut allé le tabassé. (Et qu'ils veulent bien venir). Je passe une très mauvaise soirée, stressé, car même si je pouvais encore donner la voiture sans perte de frais, je l'aimais déjà et je ne voulais pas m'en séparer. Le lendemain, DING DING DING DING, ah, c'est le rappel de l'Eglise il est 16h05. Donc le lendemain... ¤¤¤tut¤¤¤ il est 16h05 faut que j'y aille. Un rendez vous important. La suite de l'histoire un peu plus tard. Patience...


Suite et fin de la Troisième histoire :

Alors ou en étais je...
Ah oui, mon petit problème de puissance. Ma priorité absolue était de savoir d'où venez se problème et de le chiffrer. Me suis dit si c'est pas grave, pour allé plus vite, je ferais les réparations moi même. Bien que tous le monde me disait le contraire, et qu'il fallait que je la ramène.
Une fois rentré de Metz, j'ai passé ma nuit à vous lire. Et j'ai comparé mon problème avec certain, j'en ai déduis que c'était le débitmètre.
Or il était simple, de parvenir à ce problème, un tuto traine sur internet montrant comment le nettoyer.
Je décide d'allé au Lycée, avec la voiture le lendemain, bien que ce soit les vacances. Je vais voir des collègues en mécanique, qui travaillé avec des BTS. Et leur demande si on peut pas nettoyer le débitmètre ensemble. Or ils refusent, et insistent pour que je prenne contact avec le vendeur. Ce que je voulais éviter, car je voulais profiter de ma voiture au maximum et tout de suite.
Mais après de longue conversation, j'appelle le vendeur. Il nie avoir connaissance du problème, (pas folle la guêpe)  et se décharge, en précisant que sur la carte grise il est écrit vendu en l'état. Et donc qu'ils s'en lavent les mains.

Juste à coté de mon lycée il y a un garage Opel. Mes collègues me forcent à emmener la voiture là bas. Je me retrouve donc chez Opel, expose le problème. Mais ils ne veulent pas s'avancer tant qu'ils n'ont pas passé la voiture à la valise. Et paf, ça commence 40€. Après diagnostique, ils me disent que c'est la vanne EGR. Soit 300€ de réparation. Mes collègues, me conseil, de rappeler le vendeur, de lui faire part du montant des réparations et de lui demander de payer, ou de la reprendre.
Or celui-ci ne répond pas.
Un autre conseil, cette fois ci d'un ami, il me dit, de faire les réparations et de tout signer au nom du proprio, ainsi ça sera le garage qui se bougera pour le faire payer.
Conseil que je suis à la lettre. Je prend rendez-vous pour la réparation, et donne mes coordonnées.

Un jour passe. Et j'ai rendez vous pour la vidange. Je vais la faire chez Euromaster, ce sont des amis, je sais qu'ils travaillent bien et il vont vérifier tout. 2 heures plus tard, j'apprends que les filtres sont d'origine et qu'ils n'ont jamais été changer depuis 80 000Km. Il me dit que toute la voiture est encrassé. (ce qui explique le petit problème avec la vanne EGR). Ils ont changer donc tous les filtres, mis de l'huile de synthèse et un bidon d'injection5 pour essayer de nettoyer un peu tout à l'intérieur.
Là dans ma petite tête je me dit, que le mec devait surement savoir que la voiture marché pas bien. Quand je pense qu'il savait même pas qu'il y avait une alarme. (voir un post sur les alarmes). Et qu'il a décidé de la revendre. Tout change, et je rappel donc le gars, étant maintenant persuadé qu'il a essayé de m'arnaquer. Lui fait remarque que je vais avoir des réparations et que s'il ne paye pas, je porte plainte pour vice caché.

Trois jours sont passé, enfin je vais vraiment découvrir ma belle. Je l'emmène le matin à 9h00 chez Opel. Pendant ce temps là je n'ai toujours pas eu de nouvelle du vendeur.
Alors, le monsieur de chez Opel, fort aimable (ironie), me demande mon nom, je donne celui du vendeur, me demande mon adresse, je prend la carte grise et donne celui du vendeur, me demande mon numéro de téléphone, je prend mon téléphone et lui donne celui du vendeur. Le garagiste moins bête qu'il en avait l'air, me demande si la voiture est bien à moi. Je lui répond qui oui, lui explique l'histoire, et lui dit que moi je ne payerais rien, que ce sera le vendeur. Il a un peu peur mais continue quand même. Il me tape alors le numéro de la plaque dans son ordinateur, et là le mec me dit : "monsieur, votre voiture là, c'est une voiture volé..."
Ouaw, une claque dans la gueule, mon sang ne fait qu'un tour. Je vois l'avenir défilé : ma voiture saisie et vivre toute ma vie avec une pancarte au dessus de la tête avec l'inscription : pigeon...
Le garagiste me dit, que son ordinateur référence pour cette plaque une Renault mégane blanche. Alors là, j'appelle mon cousin, qui travail dans le même quartier, au commissariat, il est à la B.A.C. (oui, si vous avez remarqué j'ai une famille de flic et alors ? y en a des sympas). Il fait une recherche et me rappel. Il découvre, que ma voiture était en fait immatriculé à la préfecture de Strasbourg. Et il me dit que la préfecture de Nancy, n'a surement pas encore fait la mise à jour des nouvelles plaques.
Me voilà rassuré, et j'en apprend un peu plus sur mon vendeur. Il venait d'acquérir la voiture il y a même pas un mois, et voyant qu'elle ne marchait pas bien, il a décidé de la revendre.
Je dit au garagiste, de faire quand même les réparations, et je rajoute : "changer tout ce qu'il y a changer". Avec un sourire démoniaque.
Le matin passe, j'harcèle le vendeur au téléphone mais toujours sans réponse. Je devais récupérer la voiture à 11h00.
Midi : J'arrive enfin, à joindre le vendeur, je lui expose les faits, et il change de ton, et dit qu'il veut bien payer. On se donne rendez-vous en début d'après midi.
Entre temps, je retourne chez Opel, demande une facture, qui s'élève à plus de 500€.
Je rencontre le vendeur, avec des amis, au cas ou cela ce passerait mal. On fait la transaction à deux, mais ils guettent dans les parages. Je lui montre la facture, et elle est salé. Il me dit qu'il est jeune qu'il travail pas, et que là ça fait beaucoup. Je le rassure en lui disant que c'est toujours moins qu'une poursuite judiciaire...
Bref, il finie par allé retiré l'argent.
Je retourne chez Opel, il est 14h00. Je donne l'argent, monte dans ma voiture et je m'attend à un monstre de puissance. J'accélère, pied au plancher, je sens qu'elle ne demande que ça. C'est du bonheur.
J'ai eu très peur sur ce coup là, mais comme souvent je m'en tire bien.
Je me retrouve donc avec un problème en moins, la puissance est revenue.
Deuxième problème, cet éclairage jaune de toute laideur... Ce sera l'objet d'une autre histoire.
Le soleil commence à se couché, et je vous propose de contempler celui ci dans le silence. Afin de passé une agréable nuit.

Quatrième histoire (en 2 partie) :

Bien bien, chers amis, content que vous ayez aimé et accepter mon invitation.
Je suis heureux que l'on soit tous place Stanislas ensemble.
Nous mangeons sur la terrasse, il fait très chaud, beaucoup de gens viennent sur la place très lumineuse, bien que nous soyons en soirée. Le serveur, bien habillé, viens tout juste de nous apportez l'entrée, une quiche lorraine, bien garnit, avec sa petite salade fraîche. Je vous sert un bon vin d'Alsace. Et propose de vous contez une nouvelle aventure, ou cette fois ci, je n'ai pas étais très réglo mais je suis sure que vous me comprendrez. Nous dégustons donc, notre part de quiche, les jolies filles passent en belle robe de soirée près de la terrasse, pour allé s'asseoir au bord de la statue. Les touristes prennent des photos, il y a beaucoup de monde, mais pourtant on se sent isolé, ailleurs, abrité par notre parasol.
Contemplant ces beaux bâtiment qui ornent la place, je commence mon histoire.

Il y a quelques années, avant même que j'ai ma voiture. J'utilisais celle de mes parents, et plus spécialement la voiture de l'entreprise de ma mère. Une petite Twingo. En Initiale (haut de gamme Renault), belle petite couleur, 1.2 Essence. Certes ce n'est pas un bolide mais elle dépanne bien. Je ne l'ai pas souvent, et l'entente avec mes parents est plutôt mauvaise. Il faut remplir 6 formulaires un mois à l'avance pour avoir la voiture. Et ceux pour faire un allé-retour chez quelqu'un bien précis et pas un kilomètre de plus.
Or, a cette époque, j'ai rencontré mon premier Amour. Le vrai, celui ou on se dit je ferais ma vie avec. (sachant qu'on est jeune et con, faut pas rêver, mais on y croit). Cela ne faisait pas un mois qu'on étais ensemble, et on ne passé pas une journée sans se voir. Pas une journée.
Cependant, un week end, celui de la pentecote. Ma bien aimée, devait partir en Haute-Savoie à Annecy. Voir de sa famille. Personne ne connaissait notre relation encore. Et il semblait impossible, de me présenter aux parents en si peu de temps, et de me faire inviter dans sa famille. Nous partons donc, sur une épreuve, passer 3 jours sans se voir (qu'est ce qu'on étaient con). Le vendredi, on se dit Au revoir, mais doutons de comment chacun allons prendre la chose. La peur de se retrouver seule. Ou la peur de reprendre de mauvaise habitude, revoir ses amis et ouvrir les yeux sur cette relation trop intense. Bref, un total manque de confiance, de l'un est l'autre. Le samedi passe, je ne sais quoi faire, appel ma tendre toutes les heures. L'ennuie devient à mourir. Je n'ai envie de ne rien faire. Reste au lit la journée. Vers 16h mon amie dans la même situation que moi, me propose une idée folle, de venir la rejoindre en cachette à Annecy. Qu'on dormirais dans un Hôtel là bas, et qu'elle s'arrangerais pour être libre. Elle, prépare l'opération de son côté, et moi de la mienne. On se rappel pour 18h.

Là, le serveur arrive, reprend notre entrée, et nous apporte une autre spécialité de chez nous, une potée lorraine. Une viande marinée avec du choux et de la pomme de terre. Qui se boit avec un petit côte de Toul.

Je continue donc, mon histoire. Il est 18h je suis arrivée, en baratinant mes parents à avoir la voiture. Prétextant un devoir à faire pour le lycée avec un ami qui habite près de Metz. Que j'avais donc absolument besoin de la voiture, et que je dormirais là bas. Ils sont très réticents et imposent beaucoup de condition, mais qu'importe je suis amoureux...
Mon amie, est aussi arrivée à se débrouiller, complice avec sa cousine, qui travail chez une personne âgée les soirs pour la surveiller. Elle affirme, qu'elle veut profiter de sa cousine et qu'elle va avec elle.
Nous sommes tous bon, je parts il est 18h. Direction Autoroute, j'avais encore le A, mon premier long voyage seul et avec une petite voiture. Je roule non stop. Fait face aux intempéries, me fait quelques frayeur, mais 4heures plus tard j'arrive à destination. Me voilà à Annecy. Je suis les conseils de ma douce pour me retrouver chez la grand mère.
Me voilà arrivé, je suis présenté à sa cousine, on fait mon éloge. On est content, nous revoilà tous les deux. On monte dans la voiture, je sors d'une petite ruelle. Il fait nuit, il venait d'avoir un très gros orage. Il y avait des voitures à gauche, un terre plein centrale j'étais obligé d'allé à droite. Je m'avance et dépasse un peu histoire de voir si une voiture arrive. Mais je m'arrête et regarde sur une carte ou nous allons trouver un hôtel. Soudainement j'entends des klaxon répété. Mais étant à l'arrête je ne m'inquiète pas. Je regarde tout de même derrière moi, mais il y a personne, je ne m'inquiète pas. Je continue à chercher. Et là BAM ! Un énorme coup, ma voiture tourne sur elle même de presque degrés. Je ne comprend rien de ce qui arrive. Ma copine commence à pleurer. Je reprend mes esprits, et je vois une voiture, une veille AX blanche en face de moi avec des warning. A ce moment je n'avais pas encore réaliser que l'on m'avait rentré dedans. Je vois  mecs, plutôt louche sortie de l'AX. Qui commence à inspecter leur voiture. Je dit à ma conjointe de prendre son téléphone, de fermer les portes et d'appeler les flics dès que je lui faisait un signe. Et je sors. Là je vois ma Twingo, en piètre état. Tout mon aile gauche dévasté. La peur commence, à me prendre. Et la panique. Une seule phrase traîne dans ma tête : "tu es dans une ¤¤¤tut¤¤¤ pas possible". La panique m'empêchera d'avoir un bon jugement qui aura de l'incidence mais pour plus tard...
Les gars viennent me voir, et commence à m'insulter, et que je leur ai grillé la priorité à droite. Étant en parfaite infériorité numérique, et ayant mes jambes qui tremblait face à la réaction de mon père. J'ai dit oui, et que je m'excusais, sans même réfléchir. Il propose d'allé dans un restaurant qui est tenu par un de leur ami. Pour faire le constat. Je les suis donc, en reprenant la voiture, elle roule c'est déjà ça. Mais lors de virage serré, un bruit très inquiétant . Comme ci la roue touché la carrosserie.

Nous arrivons à la fin de notre repas, le dessert va bientôt arriver, mais une bande de comédiens improvise une pièce de théâtre sur la place. On décide de les écouter. Je reprend l'histoire juste après...


Suite et fin de la Quatrième histoire :

La troupe de théâtre à finie son sketch. Nous avons bien ris. Un verre à la main, je continue mon histoire.

Mon amie et moi, arrivons sur une petite place. Je me gare près de la VW blanche. Je me rend compte, que le conducteur n'étais pas un des 3 mecs, mais était une fille, et qui semblait plutôt être de bonne famille. Ils sont donc 4. Il rentre dans un petit restaurant, kébab. Sans nous attendre. Je les suis donc, ma copine insiste pour venir. Je rentre, là l'ambiance était très glauque. Une lumière jaune, très pâle éclairé péniblement le restaurant. Qui devait avoir juste 10 couverts. Plusieurs personne était dans le restaurant, mais ils ne semblaient pas être de la clientèle. Il parle, dans une autre langue, l'arabe ou le turque, je n'ai pas su reconnaître. Je me sent très mal à l'aise. La conductrice, s'assoie sur une table, très embarrassé. Je décide donc, de m'asseoir en face d'elle. Si j'avais une chance de m'en sortir, si toute fois il pouvait en avoir une, ça sera en traitant avec elle directement. Elle semblait plus faible et influençable. Comme ci elle avait quelque chose à cacher. J'ignore le reste de la communauté, garde sans cesse un regard sur ma bien aimée, et amorce la conversation avec cette étrange fille. "C'était vous la conductrice ?" Lui dit je. Elle fait un signe positif avec la tête. Sans dire un mot. Un de ses amis lui donne un verre. Mais on ne me propose rien. Les 3 garçons du début s'invitent à la table et commence la convers. Ils veulent remplir un constat. Chose que je ne voulais absolument pas, je ne devais pas être à Annecy, ce n'est pas ma voiture. Non faut trouver un autre arrangement. Ils ne veulent pas et commence à s'énerver, que je dois assumer, et qu'ils se moquent où je devais être. Un des hommes prend le constat et remplit pour la fille. Il fait le dessin, et dit que je n'ai pas respecter la priorité et que je leur ai rentré dedans. Toujours sur le stress je ne réagit pas, et ne nie pas les faits. Je demande cependant à voir leur voiture. Ils me disent, qu'ils connaissent la mécanique et vu les dégâts il y en a pour 300€ de réparation en gros. Ils acceptent d'ailleurs que je leur donne 300€ en cash. Le hic, je ne suis pas crésus, lycéen je n'avais pas cet argent. Je renonce à payer cette somme. Je me rend compte, par hasard, que l'homme qui remplissais le constat pour la fille, lui avait demandé le papier d'assurance. Qu'il avait laissé sur la table. Celui ci n'avait pas le même nom que celui que l'homme avait écrit pour le conducteur sur le constat. Je demande, alors en m'adressant à la fille, si c'est son véhicule. Elle me répond que c'est celui de son père. Je vois donc l'aubaine arrivée, et peut être une sortie pour moi. Je dit que je ne traiterais qu'avec le propriétaire de la voiture. Qui me dit que c'est pas une voiture volée ? Ce n'est pas le même nom. (Surement une famille divorcée, mais cela m'est égal, ils ont rien pour le prouver). J'ai trouver un chemin d'attaque. Ils ne savent plus quoi dire. Je demande à prendre rendez vous demain avec son soit disant père. La fille regarde ses 3 amis, qui hochent la tête. Il est plus d'une heure du matin, nous devons nous reposer, pour avoir les idées clairs.
Ils acceptent.

Les quatre partent, mon amie demande à allé aux toilettes. Je me rend compte que je n'ai pas eu d'adresse, ni aucun moyen de les contacter. Mais lorsqu'ils ont écrit le constat et remplit les coordonnées, c'était sur une serviette en papier. Et l'écriture à laissé les marques. J'arrive à comprendre l'adresse. Je prend discrètement la serviette. Mon amie, sort et on s'en va à notre tour.

Nous revoilà, bien démunie, tous le plaisir de se retrouvé s'était brisé en un instant. Mais un autre problème s'annoncé. Ou dormir
Nous cherchons d'éventuel hôtel avec réception 24h24h mais un long week end comme celui ci, tous était plein. Après plusieurs tentative, nous décidons de dormir dans la voiture. Extrêmement stressé, et effrayé. On trouve une petite rue sombre, et on tente de fermé l'oeil. (pour les coquins, il ne s'est rien passé cette nuit là...). Le lendemain matin, le téléphone de mon amie nous réveil. C'est son père, il lui annonce, qu'ils ont décidé d'allé faire du ski, subitement, et qu'il passe la prendre chez la grand mère ou travail sa cousine. Toh ! Il nous reste pas beaucoup de temps. Je démarre rapidement, et fonce comme je peux avec la voiture accidenté près de l'appartement. Me voilà seul, il est 10h00, dans une ville que je connais pas, avec une voiture cassé, et d'entreprise avec écris en gros la boite de ma mère dessus. Il fallait surtout pas que ses parents voient le véhicule. J'ai joué au chat et à la souris pendant quelques minutes, et une fois qu'ils se sont trouvé hors de portée je décide d'allé voir la famille de la conductrice d'hier.
Sur un carte, j'arrive à trouver.
Après, 45 minutes de routes et de vallée. Je me retrouve au sommet d'une montagne, avec une vue magnifique, l'air est frais, et très agréable à respirer. Il y a un peu de paille sur le bord de la route. Et on aperçois de la neige sur les montagnes aux alentours. Soudain, je trouve une maison. Immense. Avec une baie vitrée voutée qui donne sur les montagnes. Le nom était pas très bien retranscrit sur la serviette. Je n'étais pas à 100% sure que c'était eux. Je sonne tous de même à la porte. Un homme, avec une combinaison de ski ouvre la porte. Nous sommes un dimanche matin, il est très étonné. Je lui demande s'il est possesseur d'un VW blanche. Il me dit que oui. Je lui explique alors, que j'ai probablement eu un accident avec sa fille hier soir. Il est très surpris, et me dit qu'il n'était pas au courant. Il me fait rentré chez lui. Là une maison, avec un intérieur tout en chêne, une petite cheminée meuble la pièce principale. Une grande table en bois également avec deux banc. Il m'invite à m'asseoir et me propose un café. Que sa femme, en tenue légère, viens m'apporter. Je leur raconte donc notre aventure. Le père est très surpris. Et embarrassé. Il va chercher sa fille qui dormait encore. Je l'entend au loin la disputé. La femme me repropose un café. L'homme revient, et me dit que sa fille venait d'évoquer les même fait que moi. Il va voir sa voiture. Je suis toujours seul, avec la femme. Elle me demande ce que je fait. J'étais en costume, je ment. Je dis que je suis un employé de l'entreprise de ma mère. Et que je suis embêté car je ne devais pas avoir ma voiture de fonction pour voyager. Elle compatie. L'homme revient. Il me dit que sa voiture n'a rien, juste un phare cassé. Et que cela lui reviendrais à peine pour 50€ en prenant un à la casse. Je lui dit que moi ma voiture est en sale état. Et que je doute pouvoir reprendre la route pour partir. Nous sommes un jour fériée, il n'y a aucun garagiste d'ouvert. Le père, me demande alors s'il peut voir ma voiture. Nous y allons. Il regarde un peu, ouvre le capot, il ne semble avoir que l'aile d'abimé, rien de mécanique. Je lui dit que lorsque je tourne il y a un bruit de frottement. Il prend alors quelques outils et commence à retaper l'aile. Élargit le tout, en 2 coup de marteau le choc semble tout de suite moins violent. Cette fois ci je pense que je pourrais repartir sans problème.
Nous retournons à l'intérieur, il n'y a que nous deux. Il me demande de remplir une lettre, comme quoi j'affirme être le responsable et que j'assume les éventuels frais du véhicule, s'ils s'élèvent à plus de 50€. Un exemplaire pour moi et un pour lui. Je le remercie, de sa gentillesse et sa compréhension. et je part. Je tente d'appeler mon amie mais rien. Je décide donc de retourner sur Nancy. Trop dangereuse cette ville. Surtout qu'il me reste encore à expliquer à mes parents comment j'ai eu cet accident. Mon imagination et mon instinct de survie me donne idée.

Je rentre vers Nancy.

Le serveur nous apporte le dessert. Nous avons droit à un gâteau de nancy sur sa crème anglaise et une glace à la mirabelle. Nous goutons rapidement notre gâteau et je continue mon histoire.

J'arrive à Nancy vers 18h. Mes parents comme à leur habitude regarde la télé. Je vais directement dans ma chambre. LA voiture est garé sur un garage en face en bataille. Là j'appelle, l'ami chez qui je devais allé, pour mes parents, lui raconte mon aventure et je lui fait part de mon plan pour m'en tirer sans trop de souci.
La nuit tombe et je me prépare.
Des amis du bled, m'avait rapporté des répétiteurs de twingo qu'on m'avait volé sur la mienne, qui était neuve. J'en avais plusieurs d'avance. Et je ne veux pas savoir d'où il vienne. Je commence à en cassé un.
Je sors discrètement et répartit des débris de répétiteurs à coté de la voiture.
Je rentre et me recouche.
Le lendemain, je suis réveillé pas les cris de mon père. Il soupçonne que c'est moi, mais rien pour le prouver. Comme tous bon enfant qu'il se doit, je nie. Les liens resteront tendu pendant quelques temps.
Mais quelques mois plus tard, après une nouvelle voiture, voilà qui arrive, sur la même place de parking un accident semblable la voiture complètement enfoncé, et là je n'étais pas présent. Je ne pouvais pas être mouillé de loin comme de près. Les relations, malgré cette tragique nouvelle pour la voiture se sont nettement amélioré. Comme ci j'avais complètement était innocenté.

Pour la petite morale, la fille pour qui j'ai pris tant de risque ma trompé, 2 fois, un an après notre relation, une fois avec un de ses ex et une fois avec un de mes, ex maintenant, copain... Ah j'oubliais, ne faîtes pas de gosse.
Récemment, avec l'astra je suis retourné à Annecy. Là ou j'ai fait les photos page 1 de ce post. Je suis retourné voir les lieux de l'accident. Et je n'étais pas en tord. C'était une priorité à droite c'est eux qui aurait du me laissé passer. Même si je n'avançais pas. Elle aurait juste eu à tourné le volant pour m'éviter. Enfin femme au volant...

Le serveur, revient avec l'addition, elle est salé. Je me dirige vers les toilettes prétextant une petite indigestion et vous me revoyez plus.

[Toinou]

Cinquième histoire (en 2 parties) :

Mise en situation :

Mais chers amis, nous continuions notre visite Lorraine. Tous le monde est là, sauf el-dadoux qui est arrivée en retard. Toujours les mêmes. Après une petite réflexion à son égard, qui a fait rire tous le monde, même lui, je vous fait visité une petite ville médiévale : Liverdun. Nous nous promenons, dans ce qu'on appel la basse cours, l'endroit, anciennement ou il y avait tant d'activité. Aujourd'hui c'est plutôt calme, d'habitude il y a des reconstitutions historique, avec des batailles de chevalier des artistes, des diseurs de bon aventure etc...
Je vous montre ce qu'il reste, des fortifications récemment rénové. Il y a un pont levis, qui est souvent mis en valeur lors de carte postale de Lorraine. La Moselle contourne le village. Qui se situe au dessus d'une colline. Il y avait un petit canal avant, mais il a été détourné. On peut encore voir là ou il passé. On se promène en passant dans d'étroite ruelle. Tout étant très incliné, il y a les arcades ou anciennement le marché avait lieux. Le tailleur de pierre travail, et il a laissé la porte ouverte, nous regardons son travail. L'église de l'époque sonne les coups de 16h00. Nous passons prêt du lavoir. Soudainement un coup de tonnerre. Le ciel se transforme, en un ciel bleu agréable, à un gris effrayant. Quelques gouttes se font ressentir, sur les uns et les autres. Nous décidons de nous abrités, en espérant que ce ne sera qu'une petite averse.
L'orage se dirige vers nous, et nous allons avoir droit au rinçage gratuit. Quand un habitant, ayant remarqué les appareils photos que certains avaient à la main. Nous propose un abrit. Nous rentrons dans une petite maison, le plafond et plutôt bas, les bas des fenêtres donne sur le trottoir. Une petite table, avec une nappe à carreaux, un petit pot de fleur avec un tournesol nous accueil. Il propose de nous offrir le café, avec quelques madeleines de Liverdun.
C'est ainsi, que je commence à vous racontez mon histoire...

Les évènements ont eu lieu l'année dernière. Au mois de Juillet. Je suis embauché par une association, qui organise des cours de Français pour des étudiants étrangers. Mon travail, consiste, à surveiller et à prendre soin de ces jeunes touristes, innocent et cible idéal pour différent arnaqueur ou escroc. Faut préciser, que la clientèle est du genre, enfant d'ambassadeur ou de ministre. Et qu'il faut pas qu'il leur arrive quoi que ce soit... -> Incident diplomatique tout de suite, dans le cas contraire. (Surtout avec les Chinois, très susceptible)
Un jour, alors que les étudiants sont en cours. Et que je me repose à la cafétéria de l'université, une responsable viens me chercher, en courant. C'est urgent, il faut que j'aille avec. Je n'en sais pas plus, je me précipite et cours à ces côtés. J'imaginais le pire, une étudiante c'est blessé ou a fait un malaise. (je dit étudiante, car 80% des personnes qui étudient les langues sont des femmes, et pas de mauvais jeux de mot s'il vous plaît)
Là nous arrivons dans une salle informatique, libre d'accès pour les étudiantes qui n'ont pas cours, afin qu'elles puissent communiquer avec leur famille. Là une Guatemala, s'acharne, sur un étranger mais qui n'est pas inscrits chez nous. Elle le menace en Anglais et l'inonde d'insulte à en faire rougir le diable. J'enlève ma veste de costume, la confie à une autre étudiante, relève les manches de ma chemise et m'interpose. La responsable, s'adresse à notre étudiante. Celle-ci affirme, que le jeune étranger, lui a volé 100€ la veille. Chose que dément évidemment le pauvre jeune homme. Qui semblait plutôt être agressé, que l'agresseur. Faut dire que la Guatemala faisait 1m90 de haut, et bien autant de large...
Alors, nous rassurons la Guatemala, et ont lui dit qu'on prend les choses en main. Elle s'écarte mais surveille de loin l'affaire, remonté à bloc, près à arracher la tête au mec.

Je m'adresse, au jeune étranger, qui était en fait un étudiant inscris à l'année à l'université qui nous prêté les locaux, pour nos cours. Je lui demande, s'il a volé l'argent. Il dit que non. Je lui demande alors pourquoi notre étudiante l'accuse ? Il ne sait pas. Je le surveille pour pas qu'il s'enfuit pendant que ma responsable s'adresse à la Guatemala, qui raconte son histoire. Hier, alors qu'une photo de groupe était improvisé dans la cours pour la presse locale. La demoiselle, avait demandé au jeune homme, qui était déjà présent hier, s'il pouvait surveiller son sac. Il répond que Oui. Notre étudiante part pour la photo, et revient récupérer son sac. Le soir elle s'aperçoit qu'il lui manque 100€ dans son porte feuille.

Nous demandons, au jeune étudiant si c'est vrai. Il répond que oui, il a surveillé le sac de la Guatemala hier mais il n'a rien volé. Il avait ses écouteurs et affirme que n'importe qui aurait pu prendre l'argent.

N'ayons donc pas de preuve accablante, on décide d'appeler la police. Chose que le jeune étudiant refuse tout de suite. Il est étudiant étranger et boursier. S'il a le moindre problème avec la police il devrait retourné dans son pays d'origine. On essaye de la rassurer, sans prendre partie. Que s'il n'a rien à se reprocher, c'est le mieux. Et que de toute façon la fille qui l'accuse, ne parle pas Français et est étrangère aussi. C'est donc 50/50 risque pas d'avoir de discrimination sur ce coup là. Il refuse quand même.
Cependant, nous sommes dans l'obligation de satisfaire nos clients, et ont peut pas le laisser partir sans rien faire. On lui demande donc, de rembourser...

Là, notre hôte, m'interrompt, et nous propose un peu d'eau de vie de mirabelle, qu'il a fait lui même. Seul certain d'entre nous prend le risque de boire le breuvage à plus de 70°....
Et il en profite pour se remémorer quelques souvenirs de prisonnier de la deuxième guerre mondial, car notre rencontre de passionné lui faisait rappelé celle qu'il avait fait une fois, avec d'ex prisonnier...


Suite et fin de la Cinquièeme Histoire :

Certain on pas entendue l'histoire du petit vieux, et on terminer aux toilettes, mais maintenant que tous le monde à le gosier rincé, je reprend.

Nous demandons donc au jeune homme, de nous rembourser. Ce qu'il refuse, car il prétend être innocent. Nous somme confronté à un sérieux problème. Car, si on ne satisfait pas notre Guatemala, on va sûrement en pâtir pour notre réputation. En tout cas dans son pays. Il fallait qu'elle récupère son argent. Alors, on décide d'appeler les flics. Le jeune homme nous implore, prétextant qu'il est issue de bonne famille, que si son père l'apprend il deviendras la honte de sa famille. Et qu'un de ses amis qui avait eu un visa pour des études, se l'était vue retiré une fois mêlé avec la police.
On lui affirme qu'il reste donc qu'une chose à faire dans ce cas : payé. Et au final il accepte. Mais affirme ne pas avoir d'argent sur lui. Ma supérieur me demande de l'escorter jusqu'à un distributeur. Chose que je fait, si je veux être embauché l'année suivante. Je vais donc avec lui, il retire de l'argent et me donne les 100€. Il affirme qu'il est croyant, et que jamais il aurait volé quelqu'un. Mais, qu'il se paye sa liberté et qu'il rend service à la dame. Et qu'il souhaite qu'on lui dise. Je m'excuse de cette situation. Mais mon boulot, c'est de satisfaire ces gens... Alors...


Sixième Histoire (en 2 parties) :

Mois de Juillet. Mon travail avec des étudiants étrangers. C'est pas la première fois que je vous en parles. Tous le monde connaît. Cette année, ayant une voiture personnelle, je reçois une télécommande pour ouvrir une barrière d'un parking privé. Cette petite télécommande, j'avais coutume de la mettre dans le cendrier près de l'allume cigare. Un matin, ma collègue m'appelle pour me demandé d'allé illico presto la rejoindre, là ou les étudiants ont cours, car elle avait pas les clés pour fermé les salles de cours. Clés qui se situé dans la résidence ou nous sommes logés. Et là ou j'étais. (j'évoquerais la raison de ma présence à la résidence dans une autre histoire). Alors je cours, j'ouvre la belle, prend la télécommande, ouvre la barrière, accélère et jète la télécommande dans le vide poche. Je la récupère, on fonce de nouveaux à la résidence, elle va dans sa chambre, prend les clés. Je fais demi-tour, j'accélère, prend la télécommande, bah... Elle est ou cette foutu télécommande Je freine. Et là j'entend un bruit bizarre dans le pommeau de vitesse. J'ai cru que quelque chose été cassé. Je cherche. Rien. Le stress monte, tous est resté ouvert dans la Fac. Et là j'aperçois un petit trou, dans lequel la télécommande pendant mon jet aurait pu se logé. J'y plonge mon doigt. Et paf je pousse quelque chose... J'en déduis que c'était la télécommande. Me voilà partit, dans une crise de colère... Qui, cela dit en passant, n'a nullement fait ouvrir la barrière...
La télécommande est effectivement tombé dans ce petit trou. La résidence ce situe, dans un grand parc. Il n'y a peu de passage. Seulement 3 jeunes du genre pas fréquentable qui attendaient qu'une chose : l'embrouille. Je cherche, donc, rapidement comment récupéré ma télécommande. Mon directeur, qui appel ma colègue pour la morale. Sur le fait, que ce n'était pas prudent d'avoir tous laissé ouvert, et qu'il fallait qu'elle ramène son "cul vite".
Alors elle décide, d'emmené les clés en courant. 10 minutes de trajets a peu près. Mais elle ne veut pas passé près de ces 3 jeunes pas fréquentable. Alors faut que je l'accompagne. JE ferme la voiture en plein milieu de la petite cote en face de la barrière. On traverse le parc ensemble. Elle se met à courir, je retourne dans le même rythme dans la voiture. JE commence a chercher, grâce à SuperIphone ma procédure à suivre sur notre bon vieux forum. Mais c'est long, et je ne trouve pas. Alors je cherche, force un peu, l'entourage de l'allume cigare viens à moi après l'avoir un peu agité. A partir de là, 2 vis torx. Me RDE. Je n'ai pas d'outil. Seulement un pince multi fonction dans la boîte à gants. Avec un couteau j'essaye de dévissé. Euréka ça marche. Je démonte alors toute le pommeau de vitesse.


Suite et fin de la Sixième histoire :

Tous le pommeau de vitesse démonté. Impossible de mettre la main sur cette foutu télécommande. Et ces petits jeunes pas fréquentables, qui vienne me voir. "Hey ! Mon pote, Viens voir, tu aurais pas un téléphone à nous prêté pour qu'on appel un taxi ?"
Dans un excès d'impatience, je leur fait comprendre que je n'ai pas le temps. Alors ils regardent la voiture, "ça va plus vite qu'une golf ça ?"
Je répond en remettant ma mèche "c'est le chauffeur qui fait la différence" 
Evidemment pendant ce temps là, je ne cherchais pas la télécommande. Si je sais bien un truc, c'est qu'il faut pas tourné le dos à ce type de gars.
Ils veulent en savoir plus sur les étudiantes.
Et particulièrement sur une du Guatemala. (Une autre, pour ceux qui ont suivi les histoires précédentes). Alors je lui dit d'ou elle viens. Un jeune n'a pas compris. Elle viens de Guantanamo. Alors me voilà partit dans un cours de géographie et de phonétique.

Au final, je commence à leur demandé s'ils n'ont rien à faire de leur journée. Parce que moi, j'ai. Et ils partent.

Je me remet à ma quête, mais impossible de trouver. J'utilise un miroir, prêté par ma collègue qui est revenue. (et pour les curieux, elle n'est pas "exploitable", selon moi, pour la fin alternative  )
Et la télécommande, c'était logé tout au fond, à la limite du frein à main.
J'ai du prendre une branche d'un arbre pour l'attrapé.

Enfin, me voilà libéré. Et ce, après 1h30 de recherche tout de même.


Et je reprend, là tous le début, ou je donne la raison pour laquelle, je n'étais pas avec ma collègue au boulot, mais à la résidence.
Le matin, allant au restaurant pour le petit déjeuné, je prend ma voiture, il pleuvait, pas envie de marché. Juste une petite côte à faire, avec 2 voies dont une qui se rabat. Au niveau de la deuxième flèche de rabattement, j'entend le moteur d'une moto qui arrive à plein tube. Alors je me dit, ah non lui il me fera pas le coup de me passé devant. Un coup de pied au planché. UNe gros nuage du fumée noir sors du pot d'échappement, produit par le petit moteur reprogrammé. Fier de ma reprise en montée, je regarde dans le retro, et je vois la moto, avec des gyrophares et un mec qui me fait signe de m'arrêter.
T'oh !!!

"Bonjour monsieur, vos papiers s'il vous plaît"
Et voilà, ça n'arrive qu'a moi.
Alors je cherche dans ma veste, qui était sur la banquette arrière. Bah non j'ai pas mes papiers ! Pourquoi ? j'allais juste déjeuné à même pas 500m.
Je commence à faire un charabia. Bref, je suis convoqué au commissariat pour les montrés. Et je m'en tire sans rien d'autre.
1h00 plus tard, après l'estomac remplit, je vais au commissariat, 1h00 d'attente en plus, un policier me reçoit, me fait entré dans son bureau. Me demande si c'est pour une plainte. () Je lui dit : "bien non, me suis fait arreté, j'avais pas mon permis, je vous ramène mes papiers" Je lui tends, il regarde et me dit ok c'est bon allez y.
Euh, ne comprenant, rien, je me dit, ne cherche pas plus loin et part sans te retourner.
Et je suis retourné à la résidence pour garé ma voiture.
Vous connaissez la suite...

Cette journée étais vraiment bof bof. Et elle commencé très mal. D'ailleurs elle a très mal finie.

Voilà, bon je vous accordes c'est moins romancé que les autres fois, mais j'ai pas trop le moral ces derniers temps. Besoin de vacance je crois. Mais encore plein de chose à régler.


Septième Histoire (en 2 parties) :

Bien, chers ami(e)s, je sais qu'il y a bien longtemps que je n'ai animé mon post.
Vous avez aussi sûrement remarquez que j'étais bien moins présent. La vie, fait parfois, en sorte qu'on ne puisse pas faire ce que l'on veux. Cela vous est sûrement déjà arrivé. J'aimerai vous dire que j'aurai préférer amplement rester sur ce petit forum, à raconter des histoires, à apprendre de multitude de chose sur les voitures et plus particulièrement sur nos astras. Continuer à partager notre amour commun. Créer des liens, parfois fort entre personne, sans même s'être déjà vue. Mettant ainsi, nos préjugés dans nos poches, passant ainsi outre les réticences qu'on aurait pu avoir dans la vie réel. Et se concentré que sur la personne morale. C'est un peu la magie d'internet. Qui devient réalité ici, lorsque nous organisons ces "rencontres".
Je suis d'ailleurs impatient, de rencontrer des nouveaux membres du forum, mettre des visages sur leurs pseudos, sentir en nous comme ce sentiment de force lorsque toute nos voitures sont l'une à côté de l'autre. La voiture pour moi, représente l'espoir d'acquérir une certaine liberté. Et Dieu seul sait à quel point c'est important la liberté. Concrètement il n'y a personne qui la comprenne et personne qui sache l'expliquer, on vous enfermerez dans un palais, que vous voudriez fuir pour la chaumière, mais libre. Et, l'astra étant ma première voiture, c'est tout un symbole. Une statue de Staline pour le peuple Russe Communiste. Et vous, vous chers ami(e)s, vous qui me lisez, vous êtes une sorte de garantie. Une sensation de pouvoir partir, même lorsqu'on ne peut pas.
C'est pourquoi j'écris, c'est pour vous dire merci.

Ces derniers mois, j'ai eu pas mal d'épreuves, je me suis donc octroyer quelques jours de repos. Mission, se changer les idées, et se sentir dans un autre monde. J'ai choisis comme allié pour réussir cette mission : ma voiture, et Disney ! Résultat, 3 jours dans le monde Mickey. Réservation sur Internet, quelques centaines d'euros plus tard, les valises sont faites et prêt à partir. L'impatience fut si forte qu'il m'était impossible de fermer l'oeil de la nuit.
05:00 le réveil sonne enfin. Réel sensation de délivrance, comme la sonnerie annonçant la fin des cours. Petit déjeuner, un brin de toilette et c'est partit. Je pars chercher mon cousin. Il est 06:04, nous sommes en direction de Paris. A Nancy, nous avons la particularité de ne pas avoir de direction Paris ! Si on veut prendre l'autoroute  il faut faire un détour de 70 km pour la prendre près de Metz. Ou pire descendre dans les Vosges. Sinon, le plus logique c'est de se faire de la départementale, en passant en Haute Marne. Et reprendre l'autoroute dans les coins de Reims. Bien évidemment, je me suis rendu compte de ce petit problème bien trop tard. Et voulant faire que de l'autoroute, bien me suis planté et je suis passé par Epinal dans les Vosges. 350 km plus tard on s'arrête dans un carrefour, pour faire nos courses. Nous avons pris l'option demi-pension, mais il faut quand même manger le soir un peu. Alors on s'achète des petits trucs qui vont bien. Un peu de pâtes, des petits desserts. L'impatience devient insupportable. Nous avons tout imaginé, le petit bungalow, la piscine, le parc, les filles, j'avais même ramener un peu de matériel de mon entreprise, pour se regarder un ou deux petits films façon cinéma. (Ampli, vidéo-proj, etc).
Ils nous restaient plus beaucoup à faire. Les courses sont faites, et on fonce. L'astra fume. Arrivé à la réception du camp. Le mec à la barrière, voyant notre arrivée un peu brutal, à décider de nous embêter un peu  en nous demandants tous les papiers de réservations. Il ouvre la barrière, et on rentre. Il est un peu plus de 10h00. On gare la voiture, et on attend, il y a une file d'attente, pour avoir nos clés et nos billets. 45 minutes plus tard, nous nous étonnons qu'il y ai autant de monde en semaine scolaire. Et sommes plutôt reconnaissant de la chance qu'on ai eut pour avoir encore de la place. Enfin à nous, une dame, se prénommant Lourde, (->véridique) nous accueilles à la façon Disney : voix mielleuse, grand sourire, et gentillesse incomparable. On lui donne notre numéro de réservation. On voit sur sont visages un étonnement. Elle s'excuse et part dans une autre pièce, en nous demandant si nous avions réserver sur Internet. Ce que nous affirmons. Elle reviens 5 minutes plus tard, le visage grimaçant. Et me dit, - Monsieur vous avez une réservation pour le 14. Je dit : -oui, fièrement, je sais. - Elle me rétorque : Mais Monsieur, nous sommes le 7 !
Là mon sang ne fit qu'un tour. Mon cousin, commence, à lancé une centaine d'insulte à mon égard. La déception est à son comble.

Déception, que vous allez ressentir aussi, car je m'arrête là pour aujourd'hui. La suite un peu plus tard...   


Suite et fin de la Septième histoire :

La bouche grande ouverte, suite à cette information accablante. 30 000 choses passent dans votre tête dans ces moments là. Vous vous sentez seul, et au final une phrase résonne : "oh le con !".
Alors, encore surpris, mon cousin, s'agite, - mais on vient de Nancy !!! Il y a plus de place ? Lourde répond, désolée : - Non j'ai regardé, même dans les autres hôtels...
- Bien, dit je, à la semaine prochaine alors...

On monte dans la voiture. On ne démarre pas tout de suite, histoire de réaliser à quel point c'était pas permis d'être aussi bête. Je sors de ma place de parking. Suis une route qui mène à une barrière. Je m'avance pensant qu'elle était automatique, mais non. Une voiture arrive derrière moi, s'excite, je recul la laisse passé, elle tape un code, et je la suit. Au final, c'était pour rentrer dans le parc de l'hôtel. On a pu voir, tout ce qu'on loupé. Un petit tour histoire d'imaginer, on a même cru qu'on allé peut être trouver une entrée de service, mais non, un cercle au bout de la route pour faire demi-tour.
Partie remise, on se dit, on a pas fait tout ce chemin pour rien. On va passer une journée à Paris.
Direction le parking de l'hôtel de ville, on prend le métro, et hop aux Champ Elysée. Une petite larme devant le Disney Store... Et on y fait le tour tranquillement. On s'arrête chez Renault, là ou j'ai vu la nouvelle mégane RS et la nouvelle clio RS. (C'est de là, ou j'affirmais dans un autre post qu'il s'était vraiment pas foulé). On fait dans la logique : Peugeot, avec leur prototype tout moche qui serve à rien, Toyota où on s'est amusé avec le simulateur de F1, (mais quoi qu'ils en disent, je trouve ça pas du tout réaliste), Mercedes, ou j'ai étais surpris de voir des prix au final relativement accessible. Et enfin Citroën qui se sont vraiment surpassé : 4 étages. Bon une voiture par étage, une 2cv qui a servit pour un James Bond, la C3 Picasso  , et la C5 Break actuel, (plutôt chouette, avec une version anniversaire doté d'un V6) et enfin au sous sol : la C4 du Loeb. Un petit stand, ou ils essayent, tant bien que mal, de retranscrire la sensation d'une course de rallye. Au final, on est juste sourd, par le puissance des enceintes.
Après, avoir vu tout ça, on se paye un restaurant sur les champs pour surmonter notre peine : un Quick ! Bah, on a payé Disney, même si on y est pas, alors faut pas abusé.
On termine notre après midi aux jardins des tuileries où on y fait une petite sieste.

Retour au bercail, sur la route, près de Saint Dizier, une alfa mito, accompagné de 2 charmantes demoiselles, nous double plutôt rapidement en lavant leur pare brise. Résultat on se prend plein de produit aussi. Frustré, je décide de mettre en valeur la puissance de l'Astra, je les rattrapes, fait appel de phare pour qu'elles se rabattent. Double, et commodo des essuies glaces enfoncé aux taquets, un vrai tsunami... Je me rabat, et remet le régulateur de vitesse à 110 histoire de garder mes points. La mito nous rattrape, et je dit à mon cousin : on a une chance sur deux, soit elles sourient, soit elles nous font un ¤¤¤tut¤¤¤. Elles passent ralentisse à notre niveau, regarde bien avec un sourire jusqu'aux oriels. -Gagné ! m'exclamais-je.
Tout compte fait nous nous sommes suivies pendant plus de 130 km, à jouer ainsi, des coup de warning, des dépassement, des pointes de vitesse ensemble. On arrive au panneau fatidique : Nancy Centre, je met le clignotants et m'engage sur la voie. Elles étaient immatriculé 57. Et là je regarde dans le rétro et qu'est ce que je vois : LA MITO !
Bien je dit à mon cousin, on a peut être pas perdu notre journée, on les invites à boire un verre... Mais, le cousin rougit, et dit qu'il préfère pas, qu'il est trop timide et qu'il ferait rien. Je pense qu'il est gay, et je continue, un feu, deux feux, toujours la Mito derrière moi. J'hésite à sortir, mais je suis retenue par mon cousin, résultat elles ont repris la direction de l'autoroute aux troisièmes feux.

Il est 21h00, on décide d'allé dans la maison de nos grands-parents, ils n'y vivent plus, pour allé ce faire un film quand même, ailleurs que dans nos foyers qu'on tenté, tant bien que mal, à fuire. On installe tout, enfin non, j'installe tout. (Détail important  ). Puis on décide de se faire un classique : la grande vadrouille... Y avait pas les Allemands mais on y était presque.
00h00, je ramène mon cousin chez lui, et m'apprête à rentré chez moi. Or je devais être partit 3 jours, et évidemment je n'ai pas prévenu que je rentrais, résultat toute la maison était fermé. Impossible de rentré chez moi. (En fait je vis chez mes parents) Cela peut vous sembler bizarre, mais dans cette situation, pour mon bien être, j'avais plutôt intérêt à trouver un autre moyen que de sonné pour réveillé la maison.
Alors j'ai réveillé celle de mon cousin   Résultat, j'ai dormis dans un lit de nain, à côté de mon oncle qui avait des talents cachés de ronfleur, et un chat qui a fait ces griffes sur moi toute la nuit, parce qu'il sentait mon chien...

[Toinou]

Huitième Histoire :

L'Egypte, tout du moins cette partie, et magnifique. Mais non pas pour ses paysages, (après ces questions de goûts mais je trouve qu'il y a plus beau ailleurs) mais pour sa Mer. Je n'avais jamais vue, de ma maigre existence une eau si claire et si riche. Même dans les ports on peut voir les fonds et les ancres. Les coraux sont nombreux et abritent une multitude de poissons de mille formes et couleurs. Vous vous baignez dans un aquarium. Et cela juste en faisant 3 brasses de la plage, avec juste un masque de plongée. C'est magique.
Pour le peuple Egyptien, ce sont des gens avec une culture extrêmement différente de la nôtre. A 80% Musulmans, leur sport national est la négociations en vente. Au premier abords lorsque vous vous promenez en ville, vous avez vite envie de foutre une droite au prochain qui va vous demandez d'explorez sa boutique. Je vous propose une petite immersion...

Vous venez de terminer votre journée au bord de l'eau, vos yeux pétillent encore des poissons que vous venez de rencontrer et qui ont nagés avec vous pendant un petit moment. Le soleil se couche il est 17h, heure locale. L'imam, fait l'appel à la prière avec des hauts parleurs fixés aux Minarets. Cela dure 2 minutes à peu près. Le vent se lève, et la température se fait plus douce, vous arrivez vite à 20, au lieu des 27 de saison de l'après-midi. Un petit gilet sur le dos vous voilà armez pour sortir de l'hôtel. Les rues sont grandes et à sans unique. Jamais des voitures se croisent. Il y a toujours un trottoir ou un terre plein central entre deux routes de sens opposés. Ce qui fait tout de suite de large route. Les rues sont très éclairés, une fois les quelques marches de l'hôtel descendu, on vous a klaxonnez 5 fois pour vos proposez de vous transportez. Mais les animateurs de l'hôtel vous ont déconseilles de vous déplacez ainsi. Il y a une navette qui passe toutes les 15 minutes devant l'hôtel. Vous traversez prudemment, je n'ai pas pu savoir à combien était limité la vitesse en Agglomération, mais les voitures arrivent vite. Essentiellement des Toyota, ils roulent sans phares. Klaxonne pour prévenir de leur présence, il double par la droite ou la gauche et plus tard dans la nuit pour ne pas réveillé les gens ils font des appels de phares. Les clignotants ne sont pas de rigueur. De toute façon, il n'y a quasiment pas d'intersection, un rond point pour changer de direction c'est tout. Pas de feux, pas de stop. La navette arrive, la porte ouverte, vous montez et indiquez la destination au chauffeur. Nous allons à Sakara. L'hyper centre de la région d'Hurgada. On ne paye pas tout de suite seulement lorsque le service et rendu. Dans le bus il n'y a que des hommes, le silence et royal. Toutes les portes et fenêtre sont ouverte. Un homme vous fait signe pour vous montrez qu'il y a une place libre à côté de lui. Le temps et doux, on quitte la zone touristique et les grands hôtels luxueux, font petit à petit place à de vaste champ désertique, clairsemée de bunker militaire désertés, de barbelé et de déchet. Au loin le soleil se couche dans les montagnes du désert. Hautes montagnes de roche rouge qui ont donnés la nom à la mer, dont le plus haut sommet le mont Sainte Catherine atteint les 2 642 m. 15 minutes plus tard vous arrivez en ville. Elle débute sur un centre commercial gigantesque qui abrite bowling et cinéma, dans une architecture typique. Puis on nous fait déposé dans l'unique poste de la région qui est le centre de la ville. UNe fois descendu vous êtes emportés par une marrée de touriste russe et allemand qui descende les rues d'un pas ferme, et qui feront tout pour ne pas être ralentit afin d'éviter le harcèlement des vendeurs. Au début, on ne comprend pas pourquoi tous ces touristes cours, après tout ils sont en vacance. Mais on va vite comprendre, lorsqu'à la première boutique de légume, je m'arrête pour prendre en photo son présentoir. L'homme viens vous saluez, demande votre nationalité et parle généralement français. Naïf je trouve charmant, il m'invite dans sa  boutique, ou souk, qui abrite des tonnes de souvenirs en tout genre aux couleurs de l'Egypte. Il vous propose de vous asseoir, vous propose un thé et chicha. Souhaitant connaître le pays et ses traditions j'accepte, de plus il parlait Français. Si je pouvais avoir des conseils, des endroits à visités des pièges à éviter. J'accepte son invitation. Après avoir échanger sur nos origines, la durée de mon séjour, ses questions deviennent de plus en plus étranges, il me demande mes gouts, si je suis venu seul, si j'ai pris des excursions avec mon hôtel. Mon côté Français, mêle toi de tes affaires commence à faire ses marques. Et je commence à être sur la défensive, je remarque que je suis le seul à boire du thé. Et évidemment dans l'hôtel il est indiqué partout qu'il ne faut pas boire d'eau du robinet, elle est puisé du Nil et traverse le désert pour arriver à nous, avec des bactéries qui vous retourne l'estomac pour le reste des vacances. Je m'inquiète, et lui dit qu'en France il est mal poli de ne pas boire avec son hôte. Il se doute de mes craintes et veut me rassurer. Boit un verre, et me propose différents articles. Je lui fait savoir que je ne suis pas interressé pour le moment je viens juste d'arriver, je ferais les cadeaux avant de partir. Il se braque et s'énerve. Entre deux phrases française il parle en Arabe. Me demande ce que je lui reproche ? si je pense que ce qu'il vend n'est pas de qualité ? ou si j'ai été mal reçu. Je dit que ça n'a rien avoir avec lui, c'est juste que je ne désire rien pour le moment. Au final il s'énerve et me jette dehors comme un voleur, en disant qu'il hais les touristes Français... et d'autre phrase en Arabe que je ne saurais transcrire... A peine dehors, que son voisin, viens lui aussi vous accostez et c'est repartit, tu viens d'ou ? - bah tu entends pas ton voisin qui me gueule dessus, je suis Français... Pauvre cloche.
Et même cinéma, il me propose de visiter son magasin qui contient exactement les mêmes produits que le précèdent, où le vendeur est resté dehors et attend que je le regarde pour continué ses injures auprès de la France. Je rétorque que moi au contraire je l'aime ces Egyptiens, et me fond dans le troupeau des autres touristes qui défilent. Au final on ose plus regarder les boutiques, ou les restaurants on descend la route sans regarder à droite pour éviter le regard des vendeurs et à gauche pour éviter les taxis ou autre voiture qui vous propose de vous emmenez. On descend les rues entourés d'autre touriste et d'appareil photo, les vendeurs sont au milieux tente de vous arretez, vous montre leur magasin, et vos suivent sur plusieurs mètres. Pour peu qu'une femme soit avec vous, qu'elle soit jeune et bien fournit, ils vous suivent jusque dans le bus. Cela devient vite fatiguant, et on arrive vite à se dire, je vais rester à l'hôtel et basta. D'ailleurs, j'en ai marre, qu'on me serre la main et qu'on ma la tienne pendant 3 heures, et que lorsque je dit non merci comme par hasard ils comprennent pas. Mes poings se serrent et dans ma tête j'imagine le prochaine vendeur faisant un allé retour après un croché du droit 
Pour calmer mes pulsions je décide de rentrer, le restaurant de l'hôtel doit être ouvert et je m'apprête à connaître le reste de la culture Egyptienne et plus spécialement sont côté culinaire. et ceux dans un autre épisode...

(récit qui n'a pas été fini par Shex)


Neuvième histoire :

RETOUR D'ITALIE

Voilà, cela remonte à long la dernière petit histoire raconté par mes soins. J'ai beaucoup de retard sur le forum surtout en cette période de fin de commande et de préparatif de rasso. Alors, je vais essayer de faire court.

En premier, l'aventure avec la GTC... 
Une semaine de réparation, l'acheteur passé la prendre Vendredi. Elle passe le contrôle technique le lundi, changement des plaquettes et disques et amortisseurs arrière le mardi, vidange le mercredi, jeudi contre visite du contrôle technique après la chgt des amortisseurs.
Vendredi après-midi, 30 minutes avant mon départ pour l'Italie, 30 minutes après la transaction l'acheteur m'appelle, un peu énervé, me disant que la voiture est sur le bord de l'autoroute et qu'elle veut pas démarrer... Il y a contact, mais quand on tourne la clé elle tourne dans le vide, mais le moteur démarre pas.
Résultat des courses, l'acheteur veut que je paye 50% des réparations, et verdict demain après midi sur le problème...   Je suis maudit sur ce coup là, elle ne m'a jamais riens fait de la sorte... Je change les plaquettes alors que je n'étais pas obligé, je met même de l'essence, bonne poire... Enfin... J'espère ne pas m'en tiré trop chère, car la TT je m'étais fixé un budget que j'ai bien dépassé... 

Résultat, la famille passe me prendre, et on part pour le Lac de garde en Italie du Nord. Autant vous dire, que j'étais pas bien de savoir l'état de ma voiture.
Bouchon 2 heures en Suisse, petite feinte en entrée de l'italie pour ne pas payé l'autoroute, mettre une carte CB périmé depuis plus d'un an. On arrive à destination à minuit. 
On me présente à la famille Italienne. Et paf, l'inter de milan est en finale, alors sans tombé dans le cliché, un grand repas est organisé dans le village. Là on se retrouve dans le film les affranchies pendant le barbecue. Un ami fait le traducteur, lorsqu'il parle Italien il utilise les mains et pas qu'en il traduit en Français 
Les hommes sont au grill, bière à la main, en train de tourné des brochettes d'agneau faite maison. Les femmes et les enfants forment un groupe plus loin sous des ombrelles. Chacun t'enlace, et te pose des questions, si tu compte revenir en Italie, ce que tu fais dans la vie etc...
Habillé avec une chemise ouverte et un débardeur en dessous, petite chaîne en or, un film !
Le repas commence devant le match, personne n'a intérêt pour sa survie de s'avancer devant le vidéoprojecteur, surtout si l'inter à la balle.
Peu intéressé par le match, je tente de faire plus ample connaissance et j'apprends qu'en gros ils sont tous cousin et marié entre cousin, bref une pagaille sois un peu mytho sois franchement inceste 
Puis, un homme assez âgé passe, petit tape à l'épaule à chaque homme présent, quelques mot dans le creux de l'oreil et un signe de tête par l'intéressé. UN pincement de joue pour les gamins qui joue au foot. L'homme s'approche vers moi, et se renseigne sur moi. Je fait de même, c'est le propriétaire des lieux, il a une grosse entreprise dans les tampons, il fait tous les tampons officiel pour les préfectures et mairie. Il fête aujourd'hui ses 70 ans, et c'est un peu le père de tous.

Il semble vouloir faire plus amples connaissance, me parle en Italien indirectement à mon ami qui me traduit. Puis me donne quelques claques sur la joue en disant en Français : "tu as compris ?".
On parle de tout, surtout politique, de son passé dans la guerre en Serbie, où les Allemands et les Russes étaient soit disant leurs alliés mais ils les ont tous abattu avant qu'il retourne en Italie. Heureusement on lui avait dit de se planquer... J'ai pas trop tout compris, et surtout je n'ai pas réussis à obtenir les dates de ce conflit, mais cela m'intrigue beaucoup 
Puis il me parle de sa femme, qui est partit en 6 mois d'un cancer. Que c'était une très très belle femme, il en conclue que la vie est belle et qu'il faut en profiter, et me redonne une série du claque : "tu as compris ?" C'est là, que petit à petit je commence à comprendre qu'une expérience homosexuel avec un jeune Français l'intéresserais bien... Je reste courtois mais précise à mon ami qu'il faut qu'il arrive à traduire gentiment : "s'il me redonne une de ces petites séries de claque avec un tu as compris, je lui brise une par une ces dents et lui fait coupé toute envie de sodomite" Finalement, nous décidons de nous carapaté rapidement. Entre temps, l'inter milan gagne 2-1.

Quelques petites année docte 
-En Italie quand on est en dehors de sa ville et de son territoire en voiture, il faut allumé ses phares.
-Les Italiens du Nord se considère comme les travailleurs et sont en conflit contre les Italiens du Sud qui sont que des "feignants". Et, les gens disent qu'il y aura une guerre civile un jour... Déjà entendu ça ailleurs...
-Un paquet de cigarette coute environ 3€80
-Les Italiens disent que si leur café sont si bon, c'est grâce à leur eau. Et même si on prend le même café pour le faire chez nous ce ne sera pas le même. (Y a surement une part de vrai)

Celle-ci n'est pas vraiment une histoire mais une mésaventure avec les douaniers :

Première journée de beau temps à Nancy !

Résultat viré avec la TT, direction Strasbourg !

Mes impressions sur 200Km, après une semaine d'acquisition.

Les vibrations au delà des 120km/h, finalement ne sont pas présente à chaque fois. Et si présente, pas toujours à la même intensité... 

Soleil, Soleil, mais chaleur ça reste à voir... Mais Filet anti-remou plus vitre fermée et ça passe très bien ! Juste lors du dépassement d'un camion, le filet s'est rabattu ! 

Reprog, inévitable, je n'ai plus l'habitude de rétrograder pour doubler, ou de voir le régulateur se désactivé dans une montée.

Découverte d'une led sur le rétroviseur centrale pour éclairer l'habitacle !!! Sympa, ça me fait tout drôle de voir des reflets sur ma main lorsque je passe une vitesse la nuit, alors que je ne voyais rien avant. Cela va être plus dure pour les approches discrètes, du type, ah j'ai loupé le pommeau ! 
Aussi, je me demande comment on la change Car je vais installer l'intérieur en led rouge. 

Les xénons, ahhhh les xénons !   C'est beau... Cela change une vie. Lorsqu'il s'allume on a un petit balayage bat-haut, gauche-droite, genre le show commence ! Et enfin je vois quelque chose la nuit avec mon astra !
Enfin, je ne vois pas assez encore, je m'explique...

Arrive au péage, à allure d'un mec qui avait envie de se coucher. Je baisse la vitre, suis trop loin de la borne ! Alors j'essaye, de tiré mon bras le plus possible de l'habitacle, je lance une petite insulte envers ma personne histoire de me motivé. Et là un gars sort de nulle part et regarde avec des gros yeux !

Je m'écris : "bordel il m'a fait peur ce con !"

Il se tourne légèrement, afin que mes phares fassent reflété : DOUANE !   Bah oui, c'est sur là j'y ai droit...

-Garez vous sur le côté après le péage.

Pas de bonsoir, pas de présentation, pas de monsieur, bref un peu léger, j'imagine qu'il a du m'entendre. Et surtout il m'aide pas pour récupérer le ticket et me regarde galérer à le choper en profanant un florilège de mot d'un langage plus que familier qui ferait rougir un caïd des quartiers du 93.

J'arrive sur le côté, et là pas un, pas deux, mais 5 Douaniers rien que pour moi !!! Demande, mon permis. Mais il ne regarde pas la carte grise...
Un gars part avec dans sa camionnette. On me demande de sortir. 
On me demande s'il vont trouver des stupéfiants ?
Naïf : Trouver ou ?
Pas de réponse et je comprend que je vais avoir droit à une fouille, et ma voiture aussi. Alors là je commence à dire : "Et attention à mes cuirs aussi. Dite moi ce que vous voulez voir et je vous montres, parce que avec votre attirail vous allez me rayé tout ça..."

Résultat, on m'éloigne de la voiture   On me fouille. Je vois ma TT au loin avec des lueurs de lampe de poche dans tous les sens... Genre boîte de nuit.

Le douanier qui est avec moi sort son portable et se met à lire des sms !!! Puis il me balance quelques questions :
Vous venez d'ou, qu'est ce que vous faites dans la vie, vous allez ou ?
Et le tout sans me regarder, toujours le nez sur son portable ! Ah celui là niveau politesse je vous jures...

Résultat, 10 minutes plus tard on me fait signe de revenir. Je demande si c'est bon ? pas une réponse... Alors je monte dans la caisse. Puis là un douanier me dit : on a encore vos papiers, on vérifie sur le central.
"Ah bah oui mes papiers ! Que je suis bête" m'exlamais-je ... 

Un silence... entre eux et moi, seul ma radio couvrait un peu le bruit des voitures qui passées. Et voilà, je récupère mes papiers, Alsta la vista baby !

Résultat, il ne m'ont rien dit pour le modul can bus, je sais même pas s'ils ont regarder d'ailleurs, rien non plus pour la gazeuse dans la boite à gant. Avant de regarder, j'ai quand même pris le temps de vérifier les cuirs. Et devant eux bien sur. 

Enfin retour tranquilou, j'étais plus fatigué après ça, et là le modul me fait affiché : 0000DF.
Après lecture, c'est pour signaler régénération du FAP. Mais niveau conso, puissance je n'ai rien vue ni sentit. Niveau fumée noir... bah il faisait nuit...

VOilà, ma voiture est super sale et je hais le noir...   Donc aujourd'hui nettoyage de rigueur si j'ai le temps, et photos...

Dixième Histoire :

Nous sommes, en plein mois de février. Les beaux jours arrivent déjà en Lorraine ! Ce sont les vacances d'hiver, et je décapote pour la première fois. La sensation de ce vent frais, qui se mélange lentement et harmonieusement avec le chauffage au maximum, me donne des ailes.

Je décide alors, avec des amis de partir dans les Vosges, plus précisément au col de la Schlurt au Honneck pour les connaisseurs. Température extérieur 16°c. Je réserve dans une auberge, l'auberge des +++ pour le soir.

Départ à 13 h, avec 2 voitures. Le temps est agréable, filet anti-remou en place et nous partons. Mon ami, en C2 VTS ayant des difficultés à respecter les règles du code de la route, nous nous perdons vite. Le problème, pour lui c'est que je suis le seul à connaître le chemin... 1 h 30 plus tard on arrive au sommet du col. C2man, c'est ainsi que nous allons appeler mon ami, n'est toujours pas là. 30 minutes plus tard je l'appelles, car il avait pris une grande avance sur nous. Quelques sonneries plus tard j'entends : "oh ¤¤¤tut¤¤¤ on s'est gouré, on a pris le mauvais col - son co-pilote fait gaffe on va tomber ! - Argghhh - bip, bip, bip". Je n'ai pas eu le temps, de dire quoi que ce soit, la peur se fait ressentir, un amer gout de déjà vue, pleins de choses se passent dans ma tête, je rappelles, en vain, directement sur la messagerie...  Je tourne en rond, à en faire fondre toute les neiges autour de ma place de parking. 15 minutes plus tard, je reçois un appel de C2man, soulagé je décroche : "-Bon sang on a faillit y passer ! on a pris le mauvais col, celui ci est tout enneigé, je n'arrive plus à monter, et en voulant faire demi-tour la voiture c'est déporté et on a faillit tomber dans le ravin; mais de la poudreuse nous a stopper net. Le co-pilote pousse la voiture, mais on arrive pas à sortir...
Moi : - vous êtes où exactement ? Je vais essayer de vous rejoindre
On ne sait pas, y a personne, c'est peut être même pas une route
 Bande d'abrutit...
Bon faîtes sans nous, on vous rejoindra..."
Finalement, c'est la colère qui s'empare de moi.. 

Alors, avec ceux qui était avec moi, on commence une petite randonnée. Au sommet de la route des crêtes, nous avons une petite auberge, on s'y arrête pour boire un petit chocolat chaud. Vue imprenable sur les massifs Vosgiens. Appel de C2man : "ayez nous sommes là, on est garé près de l'astra, vous êtes où ?
- Bah, dans une auberge qui domine, grimper on vous attends" Une bonne heure plus tard, nous nous rejoignons, mais déjà le soleil se couche et la température devient de moins en moins supportable. Puis, nous avons un peu de route, pour l'auberge du soir. On décide alors de retourner aux voitures. Après une petite séance photo. Lors de la descente, je décide d'évacuer mon excès de colère en commençant une petite bataille de boule de neige ! Un coup bas, par l'arrière histoire de refroidir le cou de C2man et lui remettre les idées en place ! Bam ! La réaction ne se fait pas attendre, la guerre est déclarée, tout le monde à droit à sa boule, même les quelques randonneurs qui s'aventurent un peu trop près de notre champ de bataille. Bien essoufflé et mouillé, on arrive devant les voitures, coté maniac ressort : ¤¤¤tut¤¤¤ je suis tout trempé ! Je ne peux pas conduire... Un regard dans les yeux de C2man et nous avons eu la même idée... 2 minutes plus tard, chaussures changées et en caleçon, nous reprenons le volant.

30 minutes plus tard, le GPS nous affirmes que nous sommes arrivées à l'auberge du soir... Mais aucun bâtiment à l'horizon... Juste un petit parking, très enneigé... Quelques blagues, sur le fait que l'auberge et probablement ensevelis, quand le plus intelligent d'entre nous, à savoir moi, voit un panneau de l'auberge indiquant une direction d'un petit chemin dans une forêt... La nuit est déjà presque tombé, bien rhabillé on s'aventure dans le chemin. 500m plus tard, 3 bâtiments s'offre à nous, les 3 semblent être des restaurants. Par feignantise on s'arrête au premier...

"Bonjour, nous avons réserver pour 4 personnes... 
- Désolé Monsieur on a aucun réservation... 
- C'est bien l'auberge des +++ ? 
- Oui... 
- Bon y a du avoir une erreur, vous pouvez nous accueillir ? 
- Bien sur"

Le cadre est très charmant, la salle de restaurant est presque vide, quelques allemands près du bar, on commande un petit apéro pour cette journée déjà bien mouvementée. Nous avons à peine fini nos verres, que le patron de l'auberge viens nous voir, "- Voilà on  a un problème y a la voisine, qui a appelée et il semblerait que c'est chez elle que vous avez réservée, je ne veux pas d'histoire avec les voisins, c'est très courant comme erreur, car nous avons la même appellation..."
Surpris, et un peu gêné, nous réglons nos verres... Puis partons... Je me permet une petite remarque sur le manque de réflexion au sujet de la communication et de la signalisation de leur restaurant, et qu'un peu plus d'imagination aurait pu être utile...

Exaspéré nous nous dirigeons, dans le noir complet vers l'autre maison, aucune porte apparente, enfin aucune porte comme on peut imaginer pour un restaurant, là nous sommes accueillit par un chien énorme ! Un berger allemand croisé avec un ours, je ne vois pas autre chose, on s'approche quand même de la maison, il aboie ! Nous répondons poliment Wafff
Nous arrivons à une porte, alors qu'on s'apprête à sonner, j'entends C2man crier plus fort qu’une femme voyant une araignée... L'énorme chien était en train de courir dans notre direction... On prend nos jambes à notre cou, je crie : «lançons lui de la neige ! on a aucune chance de le semer...» Il y a plein de neige, seul la lune nous éclaire, un petit chemin verglacé, de la forêt et plein de poudreuse, on s'enfonce, et nous sommes vite essoufflé. On se retourne le chien à disparu...

On se dirige le plus discrètement possible, vers la première maison... Là une femme nous interpelles, elle semble sortir de la maison avec le chien, "venez messieurs, c'est ici !"

Un bref regard entre nous, on se remémore tous la scène de l'aile ou la cuisse, où fusil devant le nez nous devons manger des plats dégoutants... je lance en chuchotant à mes amis : "faut trouver une excuse vite" et là C2man, comme illuminé s'exclame : "non merci on a plus faim !"
La dame s'avance, et insiste, c'est bien là ! vous êtes Monsieur Shexpir ? On vous attendez, le chien vous a fait peur ? Ne vous inquiétez pas, il a un collier électrique il ne peut sortir de son périmètre...

Forcé, on se dirige, vers l'auberge. Un vestiaire nous attends, il semble avoir beaucoup de monde, on doit enlever nos chaussures et mettre des sabots.  C'est la tradition de la maison... On nous sert alors une bonne soupe bien chaude, suivi d'un gigot au pruneau avec du riz, un munster maison et pour terminer une poire belle Hélène. Rassasié on discute avec le maître de maison, on lui explique notre mésaventure, il nous explique que ça arrive souvent et que cet été, ils vont changer ça. Il est guide de montagne, et on partage nos expériences, car j'aime bien grimper les sommets...

Déjà 22h, on a encore une bonne route, et nous sommes bien fatigué, on repart. Il fait nuit noir, on ne voit rien, le ciel est remplit d'étoile c'est de toute beauté... Des bruits, sourd et des craquements, font monter l'adrénaline une fois de plus, nous sommes pressés de retrouver nos voitures, mais avons nous pris le bon chemin au moins ?!?

là on va mettre une pub, comme dans les films sur TF1, histoire de faire durer le suspens, hormis leur signalétique inexistante, le restaurant était très bon, et pas chère. Je vous enverrais volontiers les coordonnées à ceux qui seraient intéressés.

Sauvé, on aperçoit nos deux voitures. On repart, gentiment, espérant ne pas s'endormir, on se lance le défi de s'arrêter à toutes les stations services ouvertes pour prendre un café. Le col descendu, on arrive sur la voie rapide, je reçois un coup de fil, le numéro est étrange il ne comporte que 6 chiffres... Je m'arrête sur le côté et je réponds : "allo ? - Télésurveillance de votre domicile, s'est déclenché à 22h32, souhaitez vous continuer la procédure ?" WHHHHAAAA ! Enorme peur, je sort de la voiture, je vais vite faire part de l'information à mes amis dans la C2. Je sais qu'il n'y a personne qui peut se déplacer rapidement sur les lieux, ce sont les vacances, tous le monde est partit... Le problème, c'est que la suite de la procédure, ça appel ma mère, et elle est à l'étranger... Je décide alors d'appeler directement le 17. Je tombe évidemment sur la Gendarmerie de Gérardmer. Qui me renvois à la gendarmerie de Nancy, qui me renvois à la police nationale de Nancy, là j'expose le problème il me dit qu'il envois une patrouille en civile sur les lieux. Et qu'ils vont m'appeler une fois sur les lieux. Quelques minutes plus tard coup de fil, numéro masqué, c'est la patrouille, il ne trouve pas ma maison, je leur explique le chemin, une fois sur les lieux, ils font le tour de la maison, je dois leur dire toutes les entrées possible, ils entendent mon chien, mais l'alarme ne sonne plus. Une palissade est renversé dans le jardin. Ils me conseillent de revenir le plus rapidement possible, car ils doivent partir, il y a une alerte à deux pâtés de maison pour la même raison. Il me transfert vers une autre personne, qui va me poser 400 questions, sur la maison, les biens à l'intérieur, où sont les occupants... Une fois les réponses données, ils me conseillent aussi de rentrer rapidement. Et de ne pas hésiter à rappeler, s'il y a quelque chose d'étrange, ou si j'ai peur de rentrer dans la maison.

Son conseil n'est pas tombé dans l'oriel d'un sourd. Bref résumé à mes amis, je monte dans l'astra, bouton sport enclenché et là, c'est partit ! 220KM/H tout le long. Une petite frayeur, lorsque mes xénon, m'éblouissent sur un petit objet qui réfléchit à droite ! C'est un radar fixe, je pile ! On passe de 180km/h à 70km/h ! ouf aucun flash, ça sent le chaud, mais pas le temps de prendre soin de la mécanique. Mon ami me suit très bien, un peu plus faiblard en vitesse de pointe... Le volant tremble, le stress nous permet tous les risques. 45minutes plus tard, arrivé à Nancy, C2man, passe rapidement chez lui, pour revenir armée jusqu'au dent, Rambo serait une tapette à côté de lui.

On arrive à la maison, on fait le tour, mais tout semble allé, une petite nuit blanche en perspective... 

Plusieurs jours plus tard, rien à signaler...

Quelques chiffres clés, pour résumer cet histoire :

Allé Nancy-> col de la Shlurt 1H30
Retour avec adrénaline Gérardmer -> Nancy 45minutes
1 menu à l'auberge 12€
Fixation palissade 80€
C2man à utiliser un plein pour l'aller retour, soit à peine 250km.
1 nuit blanche

[Devilsilver]

mets des titre en couleur en concertation avec Shex

  ...de plus , as tu vu avec lui avant de regrouper ces recits ?

[Toinou]

Oui je l'ai marqué dans le premier post 

Hmm désolé de pas répondre de suite je finissait de tout mettre

[Toinou]

Voilà j'ai mis toutes les histoires de Shexpir, encore merci à lui pour tout ça 

Je mettrais les prochaines quand il en mettra sur sa prés 

 

[Tonton 16v]

Sa valais le coup de faire un topic ?

[Toinou]

Je suis pas le seul à l'avoir demandé

Et ça permet aux autres qui ne veulent pas lire les 57 pages à le lire la en 2 pages.

[Tonton 16v]

Je vais attendre l' avis de la team. Mais moi perso je vois  pas l' interet de ce topic ...

[Toinou]

Je m'y attendais toute façon. 

[dieudelaroute62]

Je suis trés fan des histoire de Shexpir, par contre, je pense que tu aurais peut etre du en mettre genre 1 par semaine  car la ça fait un peu lourd 

[Toinou]

Oui j'y ai pensé mais bon je m'ennuyais alors j'ai tout mis

[18Pouces]

J'ai tout regroupé en 3 posts

[Gaetastra77]

Je vais attendre l' avis de la team. Mais moi perso je vois  pas l' interet de ce topic ...

 

[Charlie_delta]

J'ai tout lu en 1h a peut près , j'ai rigolé , j'ai imaginé tout se qu'il lui était arrivé. Je trouve ça excellent ! Si tu a d'autres histoires je suis preneur !  Un grand bravo !!

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